Suprises dans la forêt interdite

En entendant Helena lui dire merci, Sirius sourit de plus belle. Il était content. De voir que la jeune fille ne lui en voulait pas, de voir qu'elle n'allait pas l'agresser ou le ridiculiser. En fait, elle semblait plutôt amicale pour le moment. Soudain, la voix d'Albus retentit :


- ça va vous deux ? Qu'est ce qui s'est passé ?! J'ai entendu un cri !

Sirius leva les yeux au ciel d'un air excédé. Il n'en pouvait plus de se retrouver dans des situations intenables à cause du jeune Potter. Ce dernier avait le chic pour se fourrer dans les ennuis les plus profonds ! Pire que la bande de Maraudeurs réunit ! Furieux, il se retourna vers lui et lança :

- La prochaine fois que tu fais une connerie de ce genre, ne compte pas sur moi pour te tirer de là ! J'en ai assez d'être celui qui prends toutes les tuiles sur la tête. Alors soit tu réffrenes tes ardeurs, soit tu te trouves une autre personne pour jouer les héros !

Sirius était vraiment hors de lui. Il était fatigué, las et furieux contre Albus et contre lui même. Il avait été sot de laisser le jeune Potter aller dans la forêt. Plus encore de le suivre au lieu de prévenir quelqu'un. Bref, il s'en voulait.

- ça va vous deux ? Qu'est ce qui s'est passé ?! J'ai entendu un cri !

Sirius semblait être profondement exaspéré par l'attitude de Albus.

- La prochaine fois que tu fais une connerie de ce genre, ne compte pas sur moi pour te tirer de là ! J'en ai assez d'être celui qui prends toutes les tuiles sur la tête. Alors soit tu réffrenes tes ardeurs, soit tu te trouves une autre personne pour jouer les héros !

Helena ricana, sous le regard baigné de larmes de Potter. Sirius sourit à nouveau, bien qu'il devait être hors de lui. Il était vrai que Albus était professionnel pour se mettre dans des situations délicates.

- Il n'a pas tord, tu sais, dit Helena à Potter.

Elle n'avait pas pu s'empêcher de commenter leur dialogue. Sirius la regard d'un air semi-étonné, semi-amusé.

- Je suis Sirius Black. Je n'ai jamais tort.

Helena faillit rire, mais elle se retint au dernier moment. Elle n'avait pas eu cette sentation depuis longtemps. Depuis de nombreuses années elle n'avait jamais eu l'occasion de rire. Elle n'avait même pas envie de se moquer de Potter, à ce moment précis.

- Si tu le dis, Black, dit-elle en essayant de rester le plus neutre possible.

Sirius fit une moue puérile qui signifiait clairement qu'il avait toujours raison, et Helena dut à nouveau se retenir de rire. Le jeune homme semblait avoir remarqué que Helena ne voulait pas rire. Il leva ses sourcis d'un air septique.

Elle se retenait de rire. C'était flagrant. Comme un troll au beau milieu d'un couloir. La question était de savoir pourquoi. De comprendre. Il n'était pas insensible, il n'était pas obtus. Il savait que si la jeune fille agissait comme ça, c'est qu'elle avait du en voir des vertes et des pas mûres. Peut-être que, comme lui, elle avait une famille à problème ...

Il haussa un sourcil d'un air sceptique et lança doucement :

- Le rire ne va pas te tuer, tu sais ...

- Le rire ne va pas te tuer, tu sais ...

Sirius n'avait pas dit ça d'un air abrupt, au contraire. Le rire... Ce mot n'avait jamais fait parti de son vocabulaire. En même tant, elle n'en avait jamais vraiment eu l'occasion. Elle ne savait que répondre à cette question. Si elle répondait une de ses répliques cinglantes, il y allait encore avoir des histoires. Elle était fatiguée et ne voulait en aucun cas se battre. Si elle ne disait rien, elle allait justement se faire passer pour une incapable... Pourquoi tant de fierté ? Elle ne savait pas. Faute d'idées, elle se contenta de hausser les épaules.
Sirius contina de plus bel.

- Tu ne veux vraiment pas hein ... Pas même un sourire ? Je n'aurais pas le plaisir de voir tes dents ... Quel drame !

Sirius affecta un air déçu. Vu comme ça, il ressemblait à un gamin contrarié de se voir refuser quelque chose. Un véritable enfant gâté, boudeur et grognon. Il avait une moue boudeuse tout à fait charmante.

- Tu ne veux vraiment pas hein ... Pas même un sourire ? Je n'aurais pas le plaisir de voir tes dents ... Quel drame !

On aurait dit que Sirius venait de se faire confisquer un paquet de bonbons. Sa mine enfantile provoqua un sourire maussade qu'Helena ne put réprimer. Siris semblait à présent satisfait. Helena passa une main dans ses cheveux désordonnés, ce qui les décoiffa encore plus. Sirius eut un rire étrange, comme s'il avait remarqué qu'Helena agissait comme un de ses proches.

- Qu'est-ce qu'il y a ? demanda la jeune fille d'un ton moins glacé que d'habitude.

- Ton geste me rappelle quelqu'un. En tout cas, chouette sourire !

Il lui en adressa un très chaleureux. Ses yeux brillaient. Il était réellement amical. La jeune fille lui plaisait bien. Il était content d'avoir réussi à la faire sourire. De plus, elle avait vraiment un beau sourire. Même maussade, il arrivait à éclairer son visage d'un certain éclat.

Sirius avait totalement oublié la présence d'Albus. Il était content de parler avec Helena.

Helena baissa les yeux et se sentit rougir. Heureusement qu'il faisait nuit. Sirius semblait ravi. Il ne le savait pas, mais il venait de réaliser un réel exploit. Elle fouillait dans ses pensées et en conclut que cela devait faire un an qu'elle n'avait pas sourit. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais aucun son n'en sortit. Il restèrent là quelques instants, sans parler.
Albus était toujours là, abordant son habituel air ébahi. Elle se fichait de sa présence, le fait d'échanger quelques mots avec Sirius lui avait réchauffé le coeur.

- Il faudrait peut-être... rentrer au château, suggéra Helena sans vraiment en avoir envie.

- Il faudrait peut-être... rentrer au château.

Le sourire de Sirius retomba. Il n'avait pas envie de rentrer. Il n'avait pas envie d'aller se coucher. Il n'avait pas envie d'interrompre la conversation. Mais si Helena l'avait proposé, c'est surement qu'elle le désirait. Alors, il hocha la tête en disant :

- Oui. Allons-y.

Il se dirigea vers le château, sans ce soucier d'Albus.

- Oui. Allons-y.

Elle aurait espéré qu'il refuse. Pourquoi fallait-il qu'elle lui demande de rentrer ? Décidemment, elle se haïssait. Pour une fois qu'elle pouvait parler à quelqu'un sans l'agresser. Sirius commença à marcher lentement et tourna la tête comme pour voir si Helena le suivait. Elle lui emboîta le pas, laissant Albus seul assit sur une souche d'arbre. Ils progressèrent dans la Forêt à pied, sans utiliser leur apparence d'Animagi. Soudain, une question jaillit de l'esprit de Helena. Une question puérile. Une question sans intérêt. Elle ne pouvait pas la poser sans se faire passer pour la dernière des idiotes. Une vague d'arrogance monta en elle et la jeune fille demanda avec lassitude:

- Tu me détestes, n'est-ce pas ?

Elle regretta aussitôt d'avoir posé cette question. Quelle belle idiote faisait-elle.

- Je ne te connais pas beaucoup, mais ce que je vois de toi me plais bien.

Helena était peu convaincue, bien que le sourire radieux de Sirius disait le contraire. Après tout, elle n'était qu'une peste, la méchante de l'histoire, comme dans les contes pour enfants. Les méchants ne triomphaient jamais des gentils, tel est la morale de toutes ces histoires. Helena se disait également quand sans les méchants, la vie des gentils devaient être bien maussade, ce qui lui donnait le courage de répondre au jeune homme.

- C'est vrai que ces traditions sont vraiments stupides, mais c'est comme ça depuis toujours.

Helena soupira, elle ne savait quoi faire. Bien que son dégoût envers les Gryffondors était puissant, elle appréciait pourtant Sirius. Dilemme.

Sirius sentit l'hésitation de la jeune fille. Il murmura :

- Quelle que soit la voie que tu choisiras de suivre, saches que je ne te déteste pas. Vraiment.


Et sur un dernier sourire, il entra d'un pas assuré dans le château, qu'ils avaient finit par atteindre tout en discutant. Il appréciait réellement la jeune Helena et chaque mot qu'il lui avait dit était vrai.

Il ne se retourna pas.

Albus se mit à pleurer en silence lorsque Sirius le gronda. Il baissa la tête et pensa alors à son père. Qu'aurait il dit à la place ? Serait il fier, en colère ? Soudain, Sirius et Helena partirent vers le château en laissant Albus seul.
Albus ne voulait pas les suivre, il était furieux contre son compatriote de Gryffondor. Il lui avait dit de ne pas se fourrer dans de telles situations. Mais Albus n'avait pas obliger Sirius à le suivre...
Il se mit alors à courir dans la Forêt, prenant la direction inverse de Black et Moor.
Il courait à toute allure, les larmes coulaient sur ses joues.
Il coura jusqu'à une clairière. Là, il s'arrêta soudain, car il avait vu une sorte de boule scintillante, au fond de la cascade d'eau qui le séparait d'une biche, brouttant l'herbe d'un air paisible.
Soudain comme hypnotisé, il plongea pour prendre cette boule.

Mais lorsqu'il fut à la hauteur de celle-ci, il comprit qu'il ne pouvait la prendre, alors il remonta à la surface.
L'endroit n'avait pas l'air d'être le même que lorsqu'il avait plongé. Il faisit plus sombre et Albus voyait des sortes de créatures des Ténèbres qui flottaient autour de lui.
Une fumée nacrée noire vint alors à lui et l'enveloppa dans son intégralité. Il ferma alors les yeux, comme si il s'endormait sauf que la fumée le conduisait sans doute vers la mort.
Albus tomba alors dans l'au et sombra, au fond de la rivière...

La biche s'arrêta de brouter et prit conscience que quelque chose n'allait pas. Soudain elle fut heurtée par une sorte de créature noire et tomba, morte. Son sang coulant abondamment.

Helena ne voulait pas rentrer au château après cela. Elle se retransforma en louve et se mit à courir à travers la Forêt. Elle courait pour tout oublier. Elle courait pour que son passé ne la rattrape pas. Elle courait pour ne pas penser. En vain. Ses souvenirs la hantaient et elle se pouvait les chasser de sa tête. Arrivée dans un endroit reculé de la Forêt, elle ralentit sa course et se rendit compte qu'elle était dans une clairière éclairée par la lueur de la lune. Elle vit alors une scène tout à fait éxaspérante. Albus Potter venait de plonger dans la cascade sombre. Une biche non loin de la regardait la scène avec calme. Helena pensa que si c'était un animal aussi craintif que la biche, elle serait déjà parti à travers les bois.
Helena fit volte-face, car le jeune Potter ne remontait pas à la surface. Elle se jeta sur la biche. Le coup qu'elle porta à l'animal lui fut fatal. Elle s'approcha de la cascade, haletante. Sans prendre la peine de réfléchir, elle plongea dans l'eau glacée. Elle appercut Albus qui semblait inconscient, entouré de créatures des eaux. Elle nagea en direction de lui. Son apparence de louve fit fuir toutes les créatures des Ténèbres et, à l'aide de ses crocs assérés, elle saisit Albus par le col de sa chemise. A côté de lui se trouvait un boule argentée. Helena ne prit pas la peine de la regarder de plus près, la respiration lui manquant. Elle essaya de remonter à la surface, ce qui ne fut pas facile car les créatures aquatiques plantaient dans ses flancs leurs griffes pointus. Elle arriva à l'air libre, sortit de l'eau et jeta Albus sur le sol couvert d'épines de pin. Celui-ci reprit conscience et toussa en recrachant de l'eau. Helena secoua sa fourrure hirsute pour se réchauffer et reprit sa forme humaine. Ses jambes étaient couvertes de griffes où du sang tiède s'écoulait de ses plaies.
- Espèce... de crétin, rugit Helena dans un hurlement semblable à celui du loup.
Albus se retourna vers la jeune fille, son regard mélé entre le choc et l'admiration.

Sirius allait entrer dans le château. Il se retourna pour voir ce que faisait Helena.

Une louve s'éloignait au galop, en direction de la forêt interdite. Mue par un instinct subit, il se transforma en chien et suivit Helena.

Il regarda toute la scène sans bouger. Helena avait sauvé un Gryffondor. Il avait remarqué que la jeune femme était un peu plus amicale avec lui mais il ne s'attendait vraiment pas à tant d'héroisme de sa part. Il était stupéfait et fier. Fier d'elle, de ce qu'elle venait de faire.

Ses babines se retroussèrent en un rictus. Il souriait. Puis, voyant qu'Helena allait passer un savon à Albus, il s'éloigna calmement et écouta.

Albus ne répondait pas, sans doute honteux de ce qu'il avait fait. Helena grelotait, elle venait tout de même de lui sauver la vie. Tout d'un coup, une question lui passa par la tête. Pourquoi avait-elle réagit ainsi ? Elle aurait bien pu laisser Albus se noyer et faire comme si de rien n'était. Mais non, le minimum d'humanité qui restait en elle avait parlé. Elle vit des buissons frémir. Elle s'en approcha un peu, mais elle n'avait pas le temps de passer la forêt au peigne fin. Ca devait être le vent, se dit-elle.

- Est-ce que tu es conscient de ce que tu viens de faire ? demanda Helena avec agressivité. Tu aurais pu te tuer! Je ne te pensais pas si bête, vois-tu.

Elle arracha une des manches de sa chemise et estompa le sang qui coulait de ses jambes à l'aide du bout de tissu.

- La prochaine fois, ne compte pas sur moi, ni sur Sirius, ni sur une autre bonne âme pour te sortir de là. Grandis un peu!

Albus baissa ses grands yeux baignés de larmes. Helena n'était pas bien placée pour donner des leçons de morale, mais qui d'autre aurait pu le faire à se place, à ce moment précis ?!

Sirius souffla. Il se métamorphosa et entra en scène.

- Tu n'es qu'un idiot. Un pauvre bougre et un crétin. C'est quoi ton problème Albus ? Si tu as besoin de parler, si tu as besoin d'un ami, je suis là. Mais tu t'obstines à courir des risques inutiles et à te conduire comme un inconscient. T'as quoi dans le crâne !? Tu as de la chance que je suis ton ami. Je n'irais pas prévenir les directrices. Mais refais une seule bêtise de ce genre et je me verrais dans l'obligation de le faire.

Sirius ne s'était pas énervé. Il avait débité son discours d'un ton calme, sans trop hausser la voix. Il se demandait si Albus n'avait pas des soucis dans sa vie au point de vouloir à tout prix rechercher le danger pour en finir. Mais si c'était le cas, il devait se battre pour réussir à sortir de cet état, de cette vie.

Il se tourna vers Helena et regarda le sang qui coulait. Il vit aussi qu'elle avait froid. Il ôta sa cape toute chaude et la posa sur les épaules de la jeune femme avec un sourire. Un sourire d'excuse.

- Merci. Je suis désolé que tu ais du prendre tous ces risques. Mais merci, ce que tu viens de faire je ne l'oublierais jamais.

Il lui fit un sourire chaleureux.

- Mais merci, ce que tu viens de faire je ne l'oublierais jamais.



- Ce n'est rien. Je ne veux seulement que ceci ne se diffuse pas dans toute l'école.

Elle se sentait mal, la mélancolie embuait ses grands yeux noirs ébènes.

- Ce n'est rien. Je ne veux seulement que ceci ne se diffuse pas dans toute l'école.

Sirius lui adressa un sourire entendu et hocha la tête. Puis il se retourna vers le jeune Albus et murmura d'un ton calme :

- Tu es d'accord pour ne pas ébruiter l'affaire, je suppose ?

Voyant que le jeune Potter hochait la tête, il lui fit un petit sourire avant de revenir sur Helena. Il lui dit gentiment :

- Tu vas finir par être malade si tu restes ici trempée comme tu l'es. Rentre donc te réchauffer au château.

Il souriait toujours.

- Rentre donc te réchauffer au château.

Sirius ne s'arrêtait-il donc jamais de sourire ? Albus était pathétique, allongé à plat-ventre sur le sol boueux, se tordant le cou pour aperçevoir Helena et Sirius. La jeune fille n'aimait pas recevoir des ordres de quiconque, mais ceci semblait être plutôt un conseil. Elle acquiesça et retira la cape de Sirius.

- Tergeo! dit-t-elle.

L'eau qui était sur la cape disparut. Elle la tendit à Sirius et lui murmura:

- N'oublie pas l'énèrgue humain qui gît sur le sol. On ne sait jamais, s'il a l'idée de rendre visite aux centaures, cette fois personne ne pourra le sortir de ce mauvais pas.

Elle adressa un sourire en coin tout à fait adorable à Sirius et se retransforma en louve au poil hirstute. Elle sortit de la clairière au pas et s'enfonça dans la Forêt, l'esprit embrumé par les récents évènements qui venaient d'arriver.

Sirius fut ébloui par la sincérité du sourire d'Helena. Il la regarda partir d'un air surprit mais content. Puis, il se tourna vers Albus et lui dit :

- Bon, cette fois-ci nous allons dans la salle commune. Et je voudrais savoir ... Tout va bien dans ta famille ? Pourquoi est-ce que tu cherches autant le danger ?

Sirius était vraiment inquiet. Il était lui-même passé par là à une période de sa vie. Il avait fallut l'aide de James et Remus pour qu'il s'en sorte.

Alors il espérait pouvoir aider le jeune Potter.

Albus qui venait d'être sauvé par Helena cracha de l'eau et sanglotait. Il avait eu une peur bleue, croyant mourir. Helena lui passa alors un savon et Sirius les rejoignit. Il passa sa cape autour des épaules de la Serpentard pour la réchauffer.
Après qu'Helena et Sirius eurent échanger quelques mots, L'animagus prenant l'apparence d'une louve, retourna au château.

Sirius se tourna alors vers Albus et lui posa une question concernant sa prise de risques. Pourquoi ?

Albus attendit qu'Helena fut assez éloignée, pour sangloter de plus belle et réussit à dire à Sirius :

"C'était pas ma faute....Sirius je ne sais pas ce qui s'est passé...J'ai été hypnotisé par une boule argentée...Au fond du lac..."

Puis Albus se releva s'aidant du bras que lui tendait Sirius puis soudain, comme si le coup avait été préparé à l'avance il lui dit :

"Désolé de te causer des ennuis Sirius." Puis, une lumière dorée enveloppa Albus. Petit à petit, on le voyait de moins en moins.
Lorsque Albus fut entièrement recouvert de cette lumière, il disparut et ne put que pousser un seul cri :
"Sirius ! Je crois que c'est la booouule !! Au fond du lac !! Je l'ai juste effleuré et...Ahhhhhhh.........!"

...