surprise surprise

Et une nouvelle et joyeuse journée de cours commença à la grande école de Poudlard.
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Environs trois-quard d'heur avant le début des cours la grande salle était remplit d'élèves plus ou moins bien réveiller, essayant d'avaler leur petit déjeuner.
Le proffesseur de soin entra dans la salle sans plafon, illuminé d'un petit soleil matinnale. Il se diriga vers la table des proffesseurs d'un bon pas, il fut dépassé par quelques redardataire qui rejoignèrent leur table respective .Il s'assit à la table et d'un geste mal assuré de sa main blesser, il fit apparraître son repas composé d'oeufs aux plats et d'un grand verre de jus.

Erillia entra d'un pas léger dans la Grande Salle. Etrangement elle se sentait très bien et mourrait de faim. Lorsque ses talons claquèrent sur les dalles, beaucoups d'élèves la regardèrent, étonnés de la voir souriante. En effet, les cours ayant repris, les élèves s'était très vite rendu compte que leur professeur de sortilèges était quelque peu sur les nerfs et qu'elle se mettait facilement en colère pour un rien. Elle pouvait passer du rire à la tristesse en un rien de temps et ses yeux n'arrêtaient pas de changer de couleur sans que personne n'y comprenne rien. Elle avait même collé des premières années dans la Forêt Interdite pour avoir fait du bruit devant sa classe... alors qu'elle n'avait même pas de cours!!!

Mais aujourd'hui, elle allait bien... enfin, mieux que d'habitude. Elle s'approcha de la table des professeurs toute guillerette et s'assit à côté d'Orlendo Fightening, auquel elle n'avait pas reparler depuis cette fameuse nuit.

Affamée, la jeune femme se jeta sur les fraises, à la grande surprise de son voisin.

Et une nouvelle et joyeuse journée de cours commença à la grande école de Poudlard.
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-Bonjours Erillia. Comment allez...va-tu depuis la dernière fois?

La jeune femme avait les yeux vert pétillant et une mine radieuse. Personne ne pourrait se douter qu'elle avait rompue avec son amant il y a à peine quelque jours, on pourrait même pencer qu'elle avait quequ'un de nouveau dans sa vie.

Erillia se renfrogna et ses yeux à nouveau gris se remplirent de larmes.

-Merci de m'avoir rappeler la dernière soirée où on s'est vu Orlendo, siffla-t-elle d'une voix menançante et en regardant droit devant elle.

Une unique larme s'échappa de son oeil, larme qu'elle enleva presque aussitôt. Soupirant profondément elle se retourna vers son ami et lui sourit amicalement:

-Désolée, je sais pas ce que j'ai, je passe du rire aux larmes en ce moment, dit-elle en se levant, légèrement nauséeuse.

Une fois debout, elle vit la salle bouger étrangement et retomba assise.

-Aïe, dit-elle. J'ai la tête qui tourne!

- Tu va bien?

Son voisin avait vraiment l'air inquiet pour elle. Il lui prit le bras pour la soutenir puis le relacha prudament.

- Tu devrait peut être aller à l'imfirmerie. Ou alors manges un peut plus...

Il avait un ton doux pour éviter de la brusquer et de subir, par la même occasion, une des ces chutes d'humeures.

Fatigué mais souriant, Sirius entra dans la grande salle.

D'un pas énergique qui contrastait fortement avec son visage aux traits tirés, il alla s'asseoir à la table des lions d'or et se servit un petit-déjeuner pantagruélique. Il commença a manger rapidement avant de se calmer petit à petit. Lorsqu'il commença à être vraiment rassasié, il regarda autour de lui d'un air curieux et désinvolte.

Son regard se posa sur Erillia, qui paraissait discuter avec Mr Fightenig d'un air concentré. Il esquissa un sourire ironique mais sans autre émotion et continua à manger en poursuivant son observation, détaché et tranquille.

Erillia vit du coin de l'oeil Sirius rentrer et s'installer avec un sourire ironique. Quel gamin! pensa-t-elle avec amertume. A voir son état il avait du également passer une bonne nuit avec sa Lily... Erillia l'avait déjà vu plus d'une fois dans cet état.

-Ne t'inquiète pas pour moi! J'ai du me faire intoxiquer en france! J'y vais, à plus tard!

Elle se releva avec plus de douceur et commença à sortir lorsque ses nausées reprirent avec plus de vigueur. Aussitôt, elle se mit à courir et se précipita dans les toilettes les plus proches.

-Mais qu'est-ce-que c'est que ce truc! s'énerva-t-elle.